Ma pratique du collodion humide

Retranché depuis le début du confinement en moyenne montagne je consacre une partie de mon temps à la pratique du collodion humide, procédé ancien du 19ème qui consiste à réaliser un positif sur verre.

Ici, à 1000 mètres d’altitude, le printemps est très changeant. Brume, soleil, giboulées, orages se succèdent et m’offrent une source lumineuse très diversifiée. Selon la météo je m’active alors à restituer toutes ces nuances sur plaques de verre, en photographiant les plantes sauvages et objets insolites glanés sur mon terrain.

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